Natif de Saint-Gilles de Lotbinière, Nil a grandi au côté de son père qui possédait de nombreux poulaillers.
Il y a environ 15 ans, il débutait sa collection d’items de l’industrie avicole. Recueillir des vieux objets est pour lui une façon de voyager dans le temps et de vivre l’évolution de l’agriculture : « On y observe une certaine continuité. Cela reflète l’effort qui était fait pour faire grandir les producteurs avicoles, tant au Québec que dans d’autres provinces. »
Membre Exceldor coopérative depuis maintenant près de 30 ans, Nil se dit très fier du chemin accompli par sa coopérative. Il conclut avec une phrase qui reflète bien sa pensée : « Faut savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. »
Il y a environ 15 ans, il débutait sa collection d’items de l’industrie avicole. Recueillir des vieux objets est pour lui une façon de voyager dans le temps et de vivre l’évolution de l’agriculture : « On y observe une certaine continuité. Cela reflète l’effort qui était fait pour faire grandir les producteurs avicoles, tant au Québec que dans d’autres provinces. »
Membre Exceldor coopérative depuis maintenant près de 30 ans, Nil se dit très fier du chemin accompli par sa coopérative. Il conclut avec une phrase qui reflète bien sa pensée : « Faut savoir d’où l’on vient pour savoir où l’on va. »
Chaque matin, Nil prend plaisir à visiter les oiseaux et à faire le tour de ses différents établissements. La campagne représente pour lui une belle tranquillité, un environnement qui lui correspond.
Il retrouve un grand sentiment de fierté lorsqu’il est à l’épicerie et aperçoit un produit de sa coopérative dans le panier des gens : « Je suis fier de nourrir le Québec. »
Il retrouve un grand sentiment de fierté lorsqu’il est à l’épicerie et aperçoit un produit de sa coopérative dans le panier des gens : « Je suis fier de nourrir le Québec. »
En ce qui concerne le futur, Nil se veut très encourageant. « Le modèle coopératif, c’est un modèle d’avenir parce qu’il a su s’adapter. Les coopératives seront toujours pertinentes ».
Pour la relève, c’est sa fille Pascale qui reprendra le flambeau de l’entreprise familiale. Nil fonde de grands espoirs sur les prochaines générations et se dit inspiré par la jeunesse. « Faut faire confiance aux jeunes, faut les laisser aller », conclut-il.
Pour la relève, c’est sa fille Pascale qui reprendra le flambeau de l’entreprise familiale. Nil fonde de grands espoirs sur les prochaines générations et se dit inspiré par la jeunesse. « Faut faire confiance aux jeunes, faut les laisser aller », conclut-il.